Visite de la chambre 103.

Ayumi s'était fiée à son instinct pour trouver sa chambre, et puis aussi un peu du plan du pensionnat (xD).

Arrivée devant le pote de la chambre, elle s'aperçue que su le panneau qui indiquer à qui était la chambre était déjà écrit le nom de Gael. Ayumi prit la crée laisser là et écrit en dessous :

Hamasaki Ayumi.

Autours du panneau elle fit des petits dessins, des fleures, un soleil, etc. et rigola à la fin.

"C'est plus jolie comme ca, hihi !"

Elle ouvrit ensuite la porte, et constata avec enchantement que ses bagages avaient déjà étaient livré. Elle fit quelques pas avant de fermer la porte.

"Pfff, j'avais pas demandé à ce qu'on mette mes bagages dans ma chambre !"

Une pile de 3 bagages était empilée devant un des deux lits. Puis, quelque chose traversa l'esprit d'Ayumi et comme si une mouche l'avait piqué, elle se jeta sur ses valises, ouvrant sauvagement la première. Elle sortie tout ce qui était dedans les laissant par terre.

"Merde ! Pas dans celle là !"

Elle laissa la première valise et se jeta sur la deuxième quelle ouvrit avant de la mettre à l'envers et vider ainsi sont contenu sur le sol de la chambre recouvert de moquette. Elle fouilla ensuite le tas de vêtement.

"'Tainn ! Il est où ?!!"

Abandonnant la deuxième valise vidée, elle prit la troisième quelle vida à nouveau et âpres quelques minutes de recherches, elle finit par se lever en criant un "YOUPIIII" !

Elle serrait contre elle une peluche, celle d'un Lynx.

"Nyaach mon Tytus tu m'a manquééééé !! Ca va bien ? Comment c'est passé ton voyage ? Pas trop dure ? T'as pas eu le mal de l'air hein ?!"

Elle l'embrassa sur la truffe.

"Sur le coup, j'ai cru t'avoir oublié au château (chez elle) ! J’me suis inquiéter mais tout va bien, t'est là !"

Elle se dirigea vers l'un des 2 lits, elle posa dessus son sa peluche comme un roi. En réalité, ce n'était pas une simple peluche, c'était son doudou. Elle le garde précieusement avec elle depuis sa naissance, mais même si elle eu déjà demandé à toutes les personnes de sa famille, de son entourage, personne n'avait la mémoire de savoir qui le lui avait offert. Tytus qu'il s'appelait, on ne sait pas non plus pourquoi ce nom, elle lui avait surement donnée quand elle était petite. Il est plutôt en bon état, recousue de ses main à 2 endroits, 1 aiguille quelque part dans son corps, une fois perdue lors d'un rafistolage, peut être que ses touffes de poiles sur la queue et les oreilles sont un peu dégarnie, mais il est quand même en bon état. Il lui manque aussi quelques moustaches, certaines sont raccourcie, et une est très très longue, l'œuvre de ses machouillage quand elle était petite. Mais malgré ces quelques mésaventures, pour 16 ans de vie avec une furie comme elle, il est en très bon état.

Réalisant ensuite son carnage, Ayumi laissa son doudou sur son lit et retourna ranger ses bagages. Cela fait, elle se jeta sur son lit à plats ventre, ne prêtant attention à ses vêtements et à sa poitrine écrasais sous son poids, elle balançait les pieds en l'air regardant son Tytus avec affection.

"Toi aussi, j'ai toujours juré de te protéger quitte à y perdre ma vie, j'ai déjà était blessée, dans un incendie, j’étais remontée à l'étage alors que le bâtiment était en feu pour te récupérer, j'ai même était bruler à un degré très élèves. Une fois, nous sommes tombé du deuxième étages ensemble, et au lieu de t'utilisé comme coussins pour amortir ma chute, je t'ai blottie contre moi pour que tu ne sois pas blaisée. Ahh, ont en à vécues des choses ! Mais malgré ca, je sais que tu seras toujours là, même si au fil du temps ton état de santé se dégrade..."

Ayumi l'embrassa une nouvelle fois sur la truffe, puis elle le reposa, le contemplant toujours, ne cessant de balancer ses jambes dans le vide. La seule chose gênante, c'était que sa poitrine lui fessait assez mal, et que si quelqu'un entrer dans la chambre, si il regarder en détail, il verrait surement un bout de la culotte d'Ayumi, mais, cela ne la dérangeait pas.

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Le son d'un harmonica retentit, un air plutôt funêbre, le jeune homme qui joua n'était autre que Gabriel, arrivant devant la porte de la chambre 103 il regarda alors la pancarte. Qui avait déssiné dessus ? C'était sûrement cette Ayumi, il posa sa main libre sur la poignet, un instant il arrêta de jouer, reprenant son air alors il tourna cette poignet en ouvrant une porte grinçante ! Oui il fallait dire que cela se maria trés bien avec son air funêbre, reprenant alors sa valise, il entra dans la piêce prenant le lit libre de la chambre.

*C'est elle, qu'elle hasard...*

Le jeune homme arrêta de jouer, posant alors son harmica sur son lit, regardant la demoiselle qui sembla plutôt heureuse, lui il ne l'était pas, et il ne l'était plus depuis quelque temps. Parlant alors, il lui dit:

"Comme on se retrouve, c'est un hasard de se retrouver dans la même chambre non ?"

Le jeune homme resta calme, son regard était plutôt neutre tous comme son expression. En faite le jeune homme se moqua qu'elle se mette en colère ou non.

*En faite elle peux avoir un coeur en or... Quand elle veux.*

Gael avait entendut la conversation depuis le début. Peut être qu'elle parla à un doudou, mais lui parlait bien aux morts.

Trainant ses deux valises du bout de ses doigts maigres, elle s'arrêta et aperçut une jeune fille gribouiller quelques dessins vite fait sur une porte et s'engouffrer dans celle ci, suivit, quelques minutes plus tard, d'un jeune homme. Elle vit, que la pièce dans laquelle était entré les deux êtres étaient sa chambre. Elle observa les lettres d'or qui ornait la porte en bois. Ayumi, avec des dessins de fleurs, Gael, et enfin son prénom. Sharo. Elle attrapa le marqueur noir qui était posé sur une petite étagère à sa droite. Etrange... Elle y griffonna un nuage, de la pluie, et un coeur brisé. Ce n'était point joyeux tout cela, certes. Elle hésita à taper contre la porte avec sa main faible mais elle s'y résigna et la posa finalement sur la poignée pour la tourner délicatement et lentement. Elle s'y engouffra avec ses valises et la referma. Au moment de se retourner, elle observa deux adolescents, à priori, ou presque de son âge. Elle se contenta d'avancer tête basse après avoir aperçu le jeune homme et la jeune fille. Super. Pour son premier jour, elle devait surement avoir interrompu une scène amoureuse entre les deux étudiants, après multiple questions à l'intérieur d'elle même, elle se dirigea vers le lit en retrait, près de la fenêtre. Elle savait que les autres personnes l'épiaient et cela la rendait soucieuse. Elle rangea ses affaires, et déposa sa valise sous son lit. Elle s'installa dessus, les jambes croisés, les deux bras sur les genoux, comme si elle attendait les critiques que les deux adolescents allaient lui faire sur le fait d'être entrer sans frapper et d'avoir surement interrompu cette scène si romantique. Ou non. Sa se trouve, ils étaient en pleine dispute... Elle ne savait pas. Regardant toujours en bas, elle se résigna à lever la tête en direction de la source de lumière. Cette fenêtre. Rien d'extraordinaire. Une vitre, du bois peint en blanc. Elle se mordit les lèvres une dernière fois et posa ses yeux sur les étudiants, d'abord sur Ayumi et ensuite sur Gael.

" Gomen... Je ne savais pas."

Après s'être pincé jusqu'a l'apparition du sang entre ses dents et ses lèvres, elle s'allongea, la main droite sous la tête et la gauche dans le vide. Elle regarda le plafond, nacré. Après avoir fait une description rapide de la chambre et de tout ce qu'elle contenais, son regard se vida. Il était absent et après avoir réfléchi quelques minutes, elle reprit conscience qu'elle été en la compagnie des deux êtres. Elle fit un sourire forcé et se leva pour s'appuyer contre le mur en sortant son paquet de cigarette. Elle observa les étudiants, et rangea finalement l'objet concerné, en soupirant faiblement.

Lorsque Gael était entré dans la chambre, elle avait soupiré et arrêté de balancer ses jambes stupidement en l'air. Son sourire sympathique s'était effacé et elle regarder d'un air douteux le jeune-homme. Il lui adressa la parole, et sans prendre la peine de prendre une autre position, elle suréleva juste sa tête en la retenant avec ses mains, les coudes calés sur le matelas. Son air était légèrement dédaigneux.

Ce n’est pas du hasard, c'est l'ancêtre qu’ont connu les mammouths et qui donne les chambres qui m'as donné les clefs.

Ayumi n'avait pas reprit son sourire. Ensuite la porte s'ouvrit, une fille rentra et s'assit sur un autre lit, elle était très silencieuse et se méprenais sur les affinités entre Gael et Ayumi. Mais le silence de la pièce qui s'était installé depuis sa venue se rompit lorsqu'elle s'excusa, Ayumi à ce moment là soupira, reprenant le balancement frénétique de ses jambes dans le vide.

Commence pas à croire des choses, je n'ai aucune animosité envers ce mec, j'te'laisse si tu veux.

Elle sourie sadiquement avant de se retourner pour se mettre sur le dos, cela commencé à lui faire vraiment mal au torse. Ayumi observa le plafond, d'un blanc jaunie par le temps. Ayumi soupira une nouvelle fois, comme agacée ou ennuyer. Elle n'avait ramené ni ordis, ni télé, ni consoles portables. Elle était enfaite venu au pensionnat pour s'exiler de son pays dont elle avait mart.

L'ennui... le silence, cela agacé Ayumi au plus haut point. Son sourire sadique revint sur ses lèvres, elle s'assit en tailleur sur son lit et prit son doudou, elle l'embrassa sur la truffe d'un air affectueux et le regarder tendrement. Puis un regard plein de haine, moqueur et sadique se dessina sur le visage de la jeune-fille, elle le prit sauvagement et le projeta violement de l'autre côté de la pièce. La peluche fonça à toute allure avant de s'écraser lamentablement contre un mur et de tomber ensuite mollement au sol. Ayumi explosa de rire, secouer par son fou-rire, elle faillit plusieurs fois tomber du lit, elle se tenait le ventre, des crampes du aux rires la tirailler. Elle se leva ensuite, toujours exploser de rire, et se dirigea d'une marche titubante vers la peluche.

Ah naan, j'en avais trop envie Tytus te peut pas savoir !

Elle explosa une nouvelle fois de rire avant de se pencher pour ramasser la peluche.

Désolé mon Tytus, c'était trop tentant, c'était ca ou j'te balancé par la fenêtre. J'avais grave envie de te voir voler !!

Elle se releva, lâchant son ventre pour tenir sa peluche qu'elle enlaça affectueusement, tentant tant bien que mal de cesser son fou-rire.

*Eh naan, chui vraiment trop bizarre moi décidément xD ! Mais c'était trop tentant faillais que je voie comment un Lynx ca vole.*

Elle re-explosa de rire, ne manquant (vu qu'elle était face au mur) de se fracasser le crane contre le mur, ce qui l'aurait fait encore plus rire. (Quand elle est prise d'un fou-rire, vu qu'elle ne rie pas souvent, elle est souvent prise de crampe et vu que dans cette situation présente elle tient son doudou en main, elle ne peut pas se tenir le ventre et donc elle se penche pour "atténuer" la douleur.)

Ayumi ne se gênée pas en présence d'autres personnes, peut-être que lorsqu'elle s'était baissée, qu'avant quand elle avait changé de position sur le lit, ou même à d'autre moment, ont aurait pus s'en difficulté profiter de l'inattention d'Ayumi pour mater sa culotte. Ou encore, se taper un délire toute seule (ce qui était très fréquent de la part de la jeune fille) en étant aussi indifférente du regard ou de ce que penser les autres personnes présentes dans la pièce aurait était gênant ou humiliant. Mais pourtant, Ayumi s'en ficher, les gens pourrons regarder ou penser ce qu'ils veulent, cela ne la déranger pas le moins du monde. Pour la culotte, c'est dans leur nature de mater les sous-vêtements des filles à leurs insu, et quand ont voit une folle comme Ayumi se taper un délire, ont peut très bien penser qu'elle est cinglé, ou peut être amusante. Mais quoi qu'il en soit, la jeune-fille s'en contre-fichée au plus au point, de l'avis ou des faits des autres. Et de ses faits à elle même d'ailleurs peut-on dire aussi.

[Hrpg: Ah, là c'est déja mieux ! Un bon pavé bien comme il faut, ca me manquer :p ]

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

La troisième habitante de cette chambre entra, Gael fut donc le seul gars de la chambre ? Pour ce qui était d'Ayumi, il ne l'avait pas maté, son regard était sur son harmonica. Le jeune homme ouvrit le tiroir d'une petite armoire, il y mit son harmonica, et sortit alors de son sac une flûte traversière, commençant alors à jouer un air triste.

*Au moins il y en à une qui profite de la vie, elle ne se soucie pas des autres...*

Se morceau amplifié d'une tristesse indescriptible était si touchant, l'on pouvait en pleurer si on était sensible... En faite le jeune homme attendait d'autre de ses bagages, mais ils n'arriveraient pas aujourd'hui, cette petite valise n'était que pour trois jours. Aprés un moment il s'arrêta et dit alors.

"Juste pour briser la glace... Je vois qu'ici tous le monde est fumeur. Depuis quand fumées vous toutes les deux ? Moi depuis mes quatorze ans, depuis un fameux jour où la vie à perdue tous sens à mes yeux."

Il reprit son morceau qui devint alors funêbre et glauque. Un morceau montrant la souffrance que l'on pouvait endurer de tel jours, mais aussi plus.

*L'amour est éternel mais la vie n'est qu'éphémère...*

Jouant de plus en plus lentement rendant le l'ambiance plus désastreuse encore... Mais soudainement se fut le silence... Une froideur s'installa soudainement quand le son de l'instrument retentit alors ! un morceau rapide et mouvementé ! Ou le malheur se mêla à la peur, pour revenir au thème de la tristesse. Tel un esprit tourmenté il savait ce qu'il jouait, ce morceau éternel qu'il avait composé depuis sa mort ! Rien qu'en y repensant, lui il avait fais sa promesse, il regarda les deux jeunes demoiselle quand il eut finis de jouer son petit morceau.

*En faite, fumer n'est qu'un moyen plus rapide de venir à la mort... Mais sinon, tous les autres chemin y mêne aussi...*

Restant calme et neutre il regarda donc par la fenêtre attendant une réponse, de toute mannière qui ne lui répondrait pas à cette question ? Il reprit alors brisant le silence qui venait de s'installer.

"Vue que nous allons devoir cohabiter dans la même piêce le mieux et d'apprendre à se connaitre..."

*Avant que la mort ne nous prenne, en faite il vaut mieux se connaître que s'ignorer, cela vaudrait mieux pour nous tous.*

Le jeune homme posa alors son instrument dans le même tiroir que son harmonica et attendit, se relevant pour s'adosser au mur, il prit son paquet vide qu'il jetta en mettant un pannier dans la poubelle. Cette chambre avait trois habitants plus enigmatique les uns que les autres, chacuns différent de l'autre... Cela en prometta énormément.

Ayumi avait beaucoup apprécié les musiques de Gael, mais à la fin, ce silence la déranger. Une nouvelle fois, Tytus vola à travers la pièce pour entrer en collision cette fois avec l'arrière du crane de Gael.

Ca, c'est parce que t'as assombrie l'ambiance !

Elle rigola, avant de récupérer son Tytus pour le remettre sur son lit, puis elle ressortie une des valises de sous son lit (la ou elle les avait rangé) qu'elle posa ensuite sur sa couchette (pour pas faire répétitions du mot lit.) .Ayumi ouvrit la valise et en sortie un chasser en papier qu'elle posa à coté de son doudou. Elle replaça ensuite la valise son son lit et se rassis en tailleur à coté de sa peluche. La jeune fille sortie du sacher une sucette qu'elle déballa et fourra dans sa bouche, puis elle ferma le sachet et le jeta en direction de Gael.

Tiens, sert toi, et fait ensuite passer à la fille prés de la fenêtre qui s'est toujours pas présenter.

Ayumi non plus ne c'était pas présenter. Elle positionna ses mains comme pour se mettre au garde-à-vous.

Ah au faite, j'me présente : Hamasaki Ayumi !16 printemps au compteur !

Ayumi approuvé l'idée de Gael qui était de briser la glace entre les 3 habitants de cette chambre. Ils allaient vivre ensemble pendants au minimum 1 ans.

Ayumi appréciée sa grosse et ronde sucette (elle avait d'ailleurs peine à la mettre en bouche et devez sucer seulement un coin, toute la sucette ne rentrer pas dans sa bouche.) tout en attendant la réponse de ses colocataires. Ayumi avait des fourmies dans les jambes, elle se leva et se dirigea vers la porte

J'vais m'ballader !

Elle épousta un peu sa robe, réajusta son bandeau, ressera ses couette et sortie de la pièce.

*J'aime le silence, mais là j'ai envie de marcher !*

Elle ferma la porte dèrrière elle, tapota le bout de ses pieds au sol pour se dégourdire et commenca à marcher dans le couloir apprès avoit remit son habituele ombrelle au dessus de sa tête, comme d'habitude callé contre son épaule tandis que tout en marchant elle la fesait tourner sur elle même.

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

La laissant alors partir, il posa le sachet sur le lit de l'autre demoiselle et lui dit donc.

"C'est mauvais pour la santé... Bon régale, je te laisse, je vais finir ma visite, je n'ai pas eut le temps de tous visiter."

Le jeune homme décida alors de sortir, mais avant il prit sa flûte traversière, il adressa un signe de la main avec un léger sourire à la demoiselle et lui dit donc alors.

"A plus tard."

Le jeune homme partit ne rajoutant pas un mot, fermant délicatement la porte dérrière lui.

(pas d'inspi désolé)
[=>Ailleur xD]

Elle ne fut pas réellement gênée quand la peluche qu'enlaçait la jeune ne vole avant de finir s'écraser contre le mur. Un fou rire se fit retentir, suivit d'une excuse et quelque paroles qu'elle ne prit pas temps d'écouter. Après réflexion, elle entendit enfin les mots qui arrivaient dans sa tête lentement. Lui laisser ? Elle enfouit sa tête dans son coups avant de se murmurer à l'intérieur d'elle même, sans que personne ne l'entende.

* Rien n'est objet... Rien n'est esprit... *

Idiot. Certes. Après une bataille intérieur avec elle même pour annoncer que ses pensées étaient sans internés, une douce mélodie vint à ses oreilles. Cette mélodie venait de l'instrument que le jeune homme maniait avec agilité et douceur, comme s'il l'avait fait toute la vie. Ce morceau, triste et mélancolique rappelait vaguement quelque chose à la jeune fille et elle se contenta de profiter. Puis, une voix se fit entendre, depuis combien de temps la cigarette avait t'elle envahi sa vie ? Aucune idée. Cela devait faire sans doute un ans. Elle n'annonça faiblement en murmurant, comme si sa réponse ne servait à rien. Elle n'était pas timide, simplement triste et n'avait pas envie de parler. Elle ferma délicatement les yeux et se laissa bercer encore une fois par cette délicieuse musique. Sharo hocha la tête pour affirmer les paroles qu'avaient prononcer le garçon. Puis après plusieurs paroles prononcer de la jeune fille à coter, elle se présenta.

Ayumi Hamasaki... La personne concerner tendit des sucettes au jeune homme et il la passa à la fille près de la fenêtre. Mlle Leek Satan. Elle regarda les énormes friandises avant de reposer son attention sur Ayumi, qui préparait son départ. C'était avec un peu de chagrin que la jeune fille se refusa à parler. Elle aurait pu empêcher sa camarade de partir mais à part provoquer quelques disputes inutiles à ce sujet, cela n'importerait rien de nouveau. Tout ce passait si vite, après le départ de Mlle Hamasaki, le jeune homme semblait vouloir également partir. Juste avant son geste, la jeune fille aquiesca.

" Je m'appelle Sharo Leek Satan. 16 ans également. "

Lui, il ne se présenta pas. Il se contenta d'avouer que les sucreries qui reposaient sur son lit n'était pas requiers pour la santé. Tant pis. Qui s'inquièterait pour elle ? Personne, alors autant mourir dans un coin, personne ne s'en serai aperçu. C'est avec une nouvelle vague de chagrin qu'elle laissa partir l'être, en lui adressant un faible sourire, identique au sien. Sharo hocha la tête, avant de murmurer, une fois qu'il fut parti.

" Ne pars pas... "

Sa y'est. Elle est encore une fois seule. Tout c'était passé si vite, elle n'avait pas réagit et n'avait même pas essayer de les retenir. A croire qu'elle était un aimant à l'envers. Qui repousse tout objet. Un aimant à ennui. Un aimant seul. Puis, une larme osa couler sur la douce joue de la jeune fille, poursuivant son chemin avant de tomber sur le lit. Elle s'allongea, et fondit en larmes. Elle était seule.

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Le jeune homme n'eut pas fais deux pas qu'il entendit la jeune demoiselle pleurer. Il décida donc de rentrer dans la chambre, il ne soupira pas mais vint poser une main réconfortante sur l'épaule de la jeune demoiselle, il ne pouvait comprendre mais éssayer au moins !

"Allez ne pleure pas je suis là... Raconte ce qui ne va pas, aprés tu te sentira mieux."

Le jeune homme s'asseyant alors à ses coté garda un léger silence, il prit donc son harmonica qui était donc dans son tiroire, il commença à jouer un air réconfortant, une berceuse plus exactement. L'air plutôt exquis à écouter était sans fausse note de la part de Gael, il continua à jouer, ce n'était pas son habitude de jouer des berceuses pour réconforter les gents, d'habitude il jouait des morceaux mélancolique ou bien la marche funèbre... Arrêtant donc de jouer, il posa sa main sur l'épaule de la demoiselle.

"Je m'appelle Gael Livy, excuse moi d'avoir oublié de m'être présenté..."

*Je ne peux pas la laisser seul, est ce une de ses frayeurs ?*

Gael ne savait pas vraiment quoi faire, il n'avait pas l'habitude, risque à s'en prendre en pleine face, il vint la serrer dans ses bras, l'enlaçant pour la réconforter.

"Allez sa va aller. Je suis là..."

Le jeune homme à la joue tatoué se montra d'une trés grande gentillesse, il ne savait pas si il faisait bien où non, depuis un certain jour il ne savait plus comment agir...

*J'ai l'impression qu'elle aura vraiment besoin de quelqu'un, elle dois avoir souffert d'une grande solitude, je devrais rester avec elle...*

Il se surprit même à verser une larme, et c'était une chose inhabituel ! Cela faisait trois ans qu'il n'avait versé aucune larme ! Et là, il en versa une...

*Je ne vais tous de même pas pleurer... Les coups ne me font pas pleurer mais là... C'est... C'est plutôt gênant, pourquoi une larme est tombé de mes yeux ? Dit le moi...*

C'était stupide. Oui. Une fille qui pleurait formait un beau tableau certes. Une main chaude se posa sur sa peau froide, glacé. La voix du jeune homme se fit entendre une nouvelle fois. Puis, la mélodie retentit. Une berceuse plus que délicieuse vint à ses oreilles. C'était magnifique. Gael Livy. Il s'appelait ainsi. C'était tout aussi charmant que la douce musique qu'il jouait. Elle secoua la tête pour annoncer que ce n'était pas grave.

" Enchanté... "

Les doux bras du jeune homme vinrent l'enlacer et elle se contenta de fermer les yeux. La mélodie résonnait encore sa tête. Elle aperçut alors un tatouage de rose sur sa joue. Etrange... Elle avait exactement le même dans son dos. Bien sur, en plus grand. Un léger sourire traversa son visage telle un éclair. Puis, elle regarda Gael.

" On aurait dit que vous entendez bien tandis que moi.... Je reste en retrais. Du coups, je reste souvent seule. "

Ce dernier mot la fit frissonner. Pourquoi cette peur ? Elle ne savait pas comme c'était arrivée. En tout cas, ce qu'elle savait, c'était ce que cela causait comme ennuie. La peur d'être seule. La peur de plonger dans un cauchemar. Même éveillé. Après, elle était dans son monde à elle seule, et impossible d'en sortir avant un certain temps. C'était monstrueux. Enfin... Elle chassa tout cela de ses pensées et revint à la réalité. Elle ôta sa veste et laissa apparaitre un tee - shirt noir. Elle n'avait pas froid.

" J'ai le même tatouage que sur ta joue... "

Il paraissait pensif quand elle parla et quelque chose l'impressionna. Une larme se fit apparaitre dans les yeux de Gael avant de couler, le long de sa joue tatouée. Sharo prit son courage et elle amena son doigts sur sa joue pour essuyer la larme. Elle lui souria lentement et appuya sa tête contre l'épaule du jeune homme. Elle n'était pas doué pour les excuses.

" Est-ce que sa va ? "

Ses cinq mots étaient prononcé faiblement, quasiment un murmure. Elle ne voulait pas s'imposer mais elle ne voulait pas non plus faire la fille qui colle toutes les personnes qu'elle voit. Non. Elle n'était pas timide, elle n'était simplement pas bavarde.

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Comment expliquer une chose qui était inexplicable, le jeune homme se trouva alors dans une impasse, la demoiselle se montrait attachante, il préféra reprendre un autre sujet pour éviter de tomber dans cette impasse.

"On est jamais seule, même si l'on est seule, il suffit simplement de s'attacher à une chose... Pour ma part, même seule je ne vois pas la raison de penser à ma solitude... Je pense que tous dépend de la façon dont on à grandit..."

Elle parla alors de tatouage, pour lui cela lui rappella se jour ! Jour où il du comprendre que la mort était n'importe où sous n'importe qu'elle forme, il se força de sourire, l'on ne pouvait pas voir que son sourire était faux.

"Se tatouage, je l'ai fais il y à trois ans... J'en ai un autre, mais pour que l'on le voit je devrais enlever mon t-shirt..."

En faite, ce qui était étonnant, ce fut le fais que la jeune demoiselle devint attachante d'un coup... Gael lui, était toujours prit d'un coup, comme si on le pendait... Enfin, à force il commença à s'habituer à ce genre de situation... Mais le fais d'être le seul garçon de la chambre aurait un effet sur les deux demoiselles ?

*Elle est sympathique, peur d'être seul, je ne peut comprendre, le mieux serait de la soigner de cette peur, mais comment faire ?*

Le jeune homme réfléchissa un instant, caressant le visage de la demoiselle d'un geste réconfortant, Le jeune homme regarda alors la demoiselle droit dans les yeux, son expression était d'une douceur incroyable. C'était peut être la seule fois que l'on pourrait voir cette expression émannant de lui, car il avait perdue tous envie de vivre...

"Sa va mieux ?"

La jeune fille hocha la tête. Il avait raison sur le tout les points. Aucune raison de mettre sa solitude en valeur. A part souffrir, sa ne lui importerai rien. Puis, après d'avoir parler des tatouages, le jeune homme lui adressa un sourire... Etrange. Il se forçait et malgré ses efforts, on ne voyait que cela. Un sourire forcé. Il y'a trois ans ? Sharo, l'avait fait environ depuis cinq ans. Un autre ? Il en possédant donc un autre, caché sous son tee - shirt. Elle le regarda, pensif. Deux grands yeux violets fixaient la peluche qui, quelques instants plus tôt, avait été jeté contre le mur sous un éclat de rire. Et si ces objets avaient des âmes ? Et si tout ce qu'on leurs faisaient subir étaient comme pour les humains ? C'était idiot, mais pas impossible. Elle laissa cette pensée pour plus tard. Autant y réfléchir avant de s'avouer que c'est vrai. Environ dix secondes plus tard, son regard absent la quitta pour reposer son attention sur son camarade de chambre. Il lui caressa le visage d'un geste réconfortant. Elle inspira un grand coups en fermant ses yeux. Elle essayai de se relaxer et d'oublier le chagrin qui l'avait envahi auparavant. Elle les réouvrit et croisa le regard fixe de Gael. Il ne paraissait pas nerveux, ni joyeux. Il était calme et l'on aur

ait dit que seule la mort pourrai lui rendre le sourire. D'un ton serein, sans être heureuse pour autant, elle annonça.

" Je pourrai te poser la même question... Pour ma part. Je vais un peu mieux mais pour toi, tu ne m'a pas l'air en pleine forme... "

Chaque parole menaçait de tout faire basculer. Elle tenta alors d'être attentive et discrète la prochaine fois car chaque sujet pouvait menacer le rappel d'un souvenir douloureux. A cette pensée, elle se mordit la lèvre et dressera la pression doucement. Ne sachant que dire, elle attrapa le paquet de sucrerie qu'avait laissé Ayumi, pour se lever et le poser sur la table de nuit de la jeune fille. Elle s'assit à coter du jeune homme une nouvelle fois en fixant la fenêtre. Il pleuvait. Son temps préféré. Pourquoi ? Parce qu'il faisait gris et que l'humidité régnait sans qu'il fasse froid pour autant. Elle ne voulut pas faire un interrogatoire, et ce n'était pas l'envie qui lui manquait, mais elle ne voulait pas passer pour une fille pour qui, chaque réponse comptait comme la prunelle de ses yeux. Elle se contenta de poser une question, naturellement.

" Dis moi... Quel est ton temps préféré ? Moi, c'est la pluie.... "

Elle aurait pu faire mieux mais personne n'est parfait...

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Quand elle demanda si il allait bien, il décida alors de répondre, son sourire s'éffaça laissant place à un soupir, il prenant donc la parole de sa voix habituelle.

"Je vais bien, j'ai toujours était ainsi, à vrais dire... Cela fais trois ans que je suis ainsi, depuis le jour où je me suis tatoué, où l'on m'a offert mon harmonica... Un jour joyeux comme les autres qui bascula quand elle fut touché en plein coeur... Elle est morte aprés m'avoir fait promettre de ne pas pleurer ni trembler devant la mort... L'accepter la regarder... Je la revoie dans mes bras..."

Il regarda donc par la fenêtre lui répondant à sa deuxième question, il avait déjà la réponse mais elle était plutôt longue à dire...

"Mon temps préféré... Quand il neige, il fais froid, certain disent que le froid représente la mort, et certains ont dit que mon coeur avait été gelé par la neige... Peut être parce que depuis ce jour je refusais de ressentir le moindre amour... Coeur de glace à été un de mes surnoms, j'en ai bien d'autre... Mais bon, pour reprendre sur la neige, je l'apprécie du à sa pureté que nul ne pourra avoir."

Le jeune homme se levant alla donc à la fenêtre, il regarda donc dans la cour, personne... Mise à part quelque parapluie qui s'ouvraient... Il se tourna alors vers la demoiselle et lui dit alors.

"L'on m'a dit un jour que si je devais pleurer... Se serait un jour de pluie, car je n'ai jamais pleuré d'aprés eux, et que mes larmes seront ses gouttes de pluie, peut être ont ils raison..."

Le jeune homme s'asseya alors sur le bord de la fenêtre, le bord intérieur ! (Oui car sinon cela signifierait que je sois dehors XD) il regarda le plafond d'un air pensif, et reportant sur le regard de la demoiselle il lui dit alors.

"A ma place certains en aurait trouvé une autre, d'autre se serait suicider... Certain en deviendrait fou, ou comme moi... Se torturant l'esprit avec un tel passé, rejetant tous amour d'une autre personne et devenant en quelque sorte un monstre... Si personne n'a confiance en moi je comprendrais, je ne peux en vouloir aux autres."

Il posa une main sur son visage, soupirant encore une fois, le jeune homme regarda la demoiselle, il éspéra alors que la demoiselle lui fera confiance, posant donc ses deux mains dans ses poches, il continua de la regarder.

Un léger soupir ce fit entendre. Puis, des paroles mélancolique laissèrent place. C'était... Affreux. Aucun mot ne pouvait décrire cela. Voir quelqu'un s'effondrer dans ses bras doit être terrible.

" J'ai vu mes parents être tués... Par mon... "

Elle se coupa elle même, stop. Ce souvenir arriva comme un coups à la tête. Elle souffrait. Sa y'est. L'homme fait des erreurs. C'est vrai. Mais lui, ce n'était pas pardonnable. Bien qu'il soit un enfant. Et qu'il n'est qu'une douzaine d'année, ce n'était pas pardonnable. Elle voulut se gifler. Ce rappeler de ce souvenir si douloureux était difficile. La neige... Le temps préféré de Gael. Elle le fixa, les yeux grands ouvert. Coeur de glace.

" Coeur de glace. Alors je tenterai de le réchauffer... "

Elle avait murmurer ceci avant qu'il ne se lève, pour regarder par la fenêtre et se retourne vers elle.

" J'en suis certaine Gael... "

C'était la première fois qu'elle avait prononcer son nom et elle en frémit légèrement. Il s'asseya sur le rebord de la fenêtre tandis, que elle, elle s'allongeait sur le lit. Après les paroles du jeune homme, elle se leva et se dirigea vers lui et lui prit la main.

" Moi. Moi j'ai confiance en toi et sa ne changera pas. "

Un faible sourire traversa son visage, la main encore dans celle de Gael...

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Ils avaient tous deux des points communs, bien plus peut être que l'on ne pouvait le penser ! Il ressentit un étrange frisson, frisson qu'il n'avait jamais connut, une sensation qu'il avait crut mort... En faite, en quelque sorte, la glace fondait légèrement ! Mais cette glace ne céda pas.

"On à eut un vêcut simillaire... Beaucoup de point commun, peut être en avons nous encore ? Cela ne serait pas étonnant..."

Regardant toujours la demoiselle droit dans les yeux, un regard plutôt doux, en faite le jeune homme était bien plus gentil que l'on ne pouvait le penser ! La parole lui manquait, il ne savait pas vraiment quoi dire, et c'était la première fois alors que cela lui arriva !

*Je ne suis que trop souvent généreux... Elle est d'une grande gentillesse... Pour un peu plus je tomberais sous le charme... Enfin si j'avais encore une once de ce sentiment.*

"Je te fais aussi confiance... "

De sa main libre il vint la poser sur la joue de la demoiselle, y déposant un baisé d'une douceur, le jeune homme n'avait pas l'habitude avec les demoiselles, il ne savait que montrer son amitié. Et pouvait la confondre peut être avec le mot amour ? En faite il fallait qu'il apprenne une nouvelle fois ce que cela signifier d'être amoureux de quelqu'un.

*Si j'agis d'une mauvaise façon je le remarquerais... Ou bien en aurais je tous simplement les traces sur la joue...*

Le jeune homme préféra garder un regard doux et sympathique comme son sourire, il voulait qu'elle se sente en sécurité, à vrais dire, il ne la laisserait pas seul.

La jeune fille hocha la tête, décider à faire fondre la glace qui s'opposait à elle, définitivement.

" Effectivement... "

Elle ne montra pas son enthousiasme qui avait bien lieu à l'intérieur d'elle. L'envie de... " Découvrir " lui chatouillait l'esprit. Elle le fixa et sa main glacé était toujours dans celle de Gael. Dès que sa première parole retentit aux oreilles de la jeune fille, elle aquiesca d'un léger signe de tête. Puis, une main se posa sur sa joue, suivit d'un doux baiser . Elle se laissa envouter. C'était parfait. Une douce brise, survenue de nulle part souleva ses cheveux gris, longs jusqu'au bassin.

* Ce sentiment survenue de nulle part... Où me mènera t'il ? Je n'ai qu'a jouer le jeu... *

Elle n'avait jamais sentie cela... Disons que l'amour, sa n'existait pas chez elle. Enfin, avant. Tout lui manquait. Pourquoi ne pouvait elle pas être comme tout le monde. Pourquoi elle n'était pas joyeuse et jovial comme les autres ? Pourquoi était elle triste sans cesse ? Pourquoi les mots ne lui venaient pas à la bouche ? Pourquoi fallait il qu'elle ne reste muette en face de tout ? C'était insupportable. C'était dur. Mais la souffrance était ce qu'elle ressentait sans cesse, alors pourquoi essayer de partir en sachant qu'un jour, on tombera entre les bras de l'enfer... ? Pourquoi... ? Il y'a une réponse à tout, certes mais des fois, il y'a des réponses qu'il ne faut pas savoir. Alors le mystère que renfermait Sharo n'allait jamais être découvert, même pour elle même.

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

Cela repartit alors dans un moment de silence, se silence qui avait former la glace en Gael, qui l'avait rendut tel qu'il est, ce pensionnat était une échapatoir pour lui, un moyen de sauver ce qui restait de son coeur, se faire de nouvelles amitiés. Il regarda la demoiselle qui sembla silencieuse aussi, ayant un peu envie de rester dans se silence, il ne disait rien, laissant passer quelques temps. Ensuite pour briser se silence il lui demanda donc dans un calme des plus simples.

"Hé bien, que voudrais tu faire ? Je ne vais pas te laissez seul, je t'en fais la promesse."

Il lui fit un clin d'oeil amicale, Le jeune homme se montra bien sympathique, malgrés son apparence il était bien plus généreux que l'on pouvait le penser, réservait il d'autre surprise ? Oui il en réservait d'autre...

*Je me demande qu'elles sont ses passions, je le découvrirait un jour où l'autre...*

Le jeune homme montra un sourire doux, tous comme son regard, l'on pouvait vraiment se sentir en sécurité avec lui ! En faite il était d'une énorme sincérité et plein de confiance, rare était les gents qui pouvaient voir Gabriel ainsi, il fallait être en quelque sorte quelqu'un dont il sent une sorte de fraternité, ou même plus !

Comme un poison qui coulait lentement dans ses veines pour le seul but de la tuer, elle était là, à souffrir et à chercher un remède, pour mourir moins triste. Non, sa n'allait pas. Elle broyait le noir au milieu de nulle part, c'était ridicule. Encore ces pages, encore cette encre. Cela revenait comme un cauchemar que l'on refait chaque nuit... [ * ] Elle secoua la tête pour essayer de faire sortir ses idées de mort de sa tête. Son regard fixa une nouvelle fois les yeux sombres de Gael. C'était... Envoutant. Puis, d'un ton calme, il brisa la glace, répara le poison.

" Je n'en ai aucune idée. Bien que se promener ne me semble pas une mauvaise idée. Sinon.. Merci. "

Elle aquiesca d'un sourire qui se joignit au clin d'oeil du jeune homme. Il était mystérieux et a vrai dire, elle connaissait peu de chose de lui. Comme si les pensées de Gael avait été des paroles, elle s'appuya contre le mur, toujours la tête tourné pour regarder dans sa direction.

" Qu'aimes tu le plus, dans la vie ? "

Puis, après un court moment, elle ajouta.

" Pour ma part, j'aime le vent. C'est stupide, mais réaliste. "

[ Pour l'étoile [ * ] Regarde le post que j'ai fait le 30 Novembre : My father is dead... O my God !]

L'ange. Messages : 43 Date d'inscription : 23/11/2007

La proposition de se promener était des plus interressantes, à vrais dire cela le toucha... Mais le jeune homme l'écouta encore, se fut quand elle lui demanda ce qu'il aimait qu'enfin il ne savait que répondre ! Que pouvait il bien aimer ? En faite là il ne pouvait le dire, il garda son calme, et répondit d'une voix plutôt rêveuse.

"Ce que j'aime... C'est la neige. Je pense y avoir déjà répondut non ? Mais sinon, j'aime la musique, le son mélodieux des instruments, un son qui se trouve envoutant..."

Oui c'était cela qu'il aimat particulièrement, le jeune homme s'avoua même que la musique était un compagnon en quelque sorte ! Comment expliquez une chose presque durre à comprendre, le jeune homme qui garda un calme exemplaire pouvait rajouter d'autre chose mais cela était quelque chose des plus important à ses yeux... Gael reprit parole mais se tut avant de dire le moindre mot, ce rappellant qu'elle aussi avait perdue des proches.

"J'ai faillit dire une chose qui aurait put te faire du mal... Excuse moi."

Oui il avait faillit dire qu'il continuer d'aimer son amie décédée, un amour qu'il ne pouvait quitter ! Il n'avait pas eut le temps de lui offrire les clochettes qu'il porte aux oreilles. Jamais il en avait eut le temps...

*Pourquoi n'ai je pas eut le temps ?*

Le temps... Il passait trop vite certes mais quelques fois, c'était bien. Cela voulait dire que c'était bientôt. Bientôt, elle quitterai ce monde de haine, bientôt elle mourrait enfin. Cette pensée lui arracha un sourire rapide qui laissa vite place à un regard neutre. Faire du mal ? Qu'est ce que sa lui importait ? Sharo allait mourir, avoir mal ou pas, elle n'avait pas de préférence.

" Dis le. Je préfère qu'on me dise tout en face. "

Elle avait dit ça d'un ton surprenant. Jamais elle n'avait eu cette colère dans la voix. Colère, normal. Le temps allait vite, mais pas assez pour la tuer rapidement. La preuve, elle était encore là aujourd'hui. Elle ne vivait que pour une seule chose, un seul objectif. Mourir. Sauf si quelqu'un se mettait en travers de sa route, enfin... Peu de chance qu'elle y fasse attention. Qui sait ?

* Cette obsession... C'est agréable et ça fait souffrir... *

Elle ne voulait plus parler, elle ne voulait plus rien, comme si sa propre pensée lui faisait peur. La peur elle même. C'était... Stupide. Elle voulut partir pour se promener en compagnie de Gael et aussitôt, elle se leva et fit un signe de tête comme pour dire que l'on pouvait partir maintenant. Triste erreur. Sharo se dirigea vers la porte, l'ouvrit et puis la referma une fois le jeune homme passer. Après plusieurs secondes ils se mirent en route pour arriver dans un couloir. Puis, dans un fracas terrible, la jeune fille trébucha sur quelque chose. Elle tenta de se relever et après plusieurs secondes, elle réussit. Elle porta une main à son genoux. Un liquide chaud coulait lentement, régulièrement. Une simple écorchure mais avec autant de sang, cela paraissait un peu suspect... Elle effectua plusieurs mouvements avec sa jambe et se remit à marcher, puis sa bonne humeur chuta rapidement pour laisser place à un énervement. Super, trébucher comme sa ne pouvait pas être plus idiot. C'était agaçant mais elle n'était pas pour autant au point de s'énerver jusqu'à blesser. Non... C'était impossible. Pas elle. Elle en était incapable. Les menaces avaient bien lieu mais elle savait qu'elle mentait. Elle se mentait à elle même... Un allé simple pour l'enfer... Pour y parvenir, il suffisait d'un peu d'amour...

» nouvelle chambre
» La chambre des anges.
» Demande de chambre
» Quelle chambre ?